De l’Histoire

La Prophétie du Cercle se déroule sur un continent unique dans l’hémisphère Sud-ouest d’un monde lointain et anonyme. Deux espèces conscientes, les tikedi et leurs voisins reptiliens prédateurs, les tekk, coexistent dans un climat de violence. Ils n’ont ni langue commune ni envie de partager leurs idées. Il y a juste des frontières qui ne doivent pas être traversées, des règles qui ne doivent jamais être ignorées, et le Cercle, qui ne doit jamais être rompu.

Jahrd Ardeana, un jeune tikedi métis du désert de Tarsin, est poussé par une tragédie d’enfance à chercher des réponses à des questions interdites. Contre les vœux de son peuple, il dédie sa vie à la maîtrise de la langue des tekk dans l’espoir de trouver pourquoi certains de son peuple doivent mourir de leurs mains tandis que d’autres sont épargnés.

Dans la lointaine Tiekeville, autrefois appelée « la merveille du monde tikedi », une maladie ravage la population. Le Cratère, patrie des tekk, renferme la clé qui la repoussera pour de bon, mais la quête pour le remède révèle le risque d’un guerre, à la fois de l’intérieur et de l’extérieur.

Partout dans le monde, tant pour les tekk que pour les tikedi, la dissidence se soulève. Les anciennes traditions et les anciens avertissements sont questionnés et rejetés, et l’équilibre entre les races commence à bouger. Le Cercle est en train de se rompre.

 

Livre zéro : Tangeante est un préquel. Une trilogie en romans est prévue pour la suite, et était au départ supposée être un ensemble de livres d’un seul tenant jusqu’à ce que l’auteur réalise que le début qu’elle avait écrite n’était pas du tout le début, et que le matériel équivalent vaillant tout un roman existait comme trame de fond. Plutôt que d’ajouter un délicat quatrième tome, elle a décidé d’essayer de débiter quelques zillions de planches de bande dessinée pour donner à chacun quelque chose de gratuit et d’amusant.

Actuellement, c’est mis à jour hebdomadairement. Quelque chose de nouveau apparaît chaque mercredi (lundi), dans le cas contraire cela provoque une crise chez l’auteur / artiste / bref la folle en coulisses, et donc il y a en général toujours au moins un dessin pour boucher le trou, à moins qu’elle ne se sente vraiment, mais alors vraiment pas bien.

Pour les curieux, l’art est complètement traditionnel : crayon, encre, puis peinture à l’eau.